La famille est la cellule de base à l’origine de la société. Issue de l’amour de deux parents, elle assure sa propre transmission à travers les enfants, à qui elle doit une vraie éducation morale.
La société sans père est celle d’un Occident décadent, qui a attaqué l’autorité paternelle depuis le XVIIIe siècle et qui continue à le faire, notamment car l’image du Père ramène à Dieu.
La mère est l’âme du foyer. Elle doit donc rayonner dans son intérieur et dans sa famille, par l’exemple et la pratique des vertus. Le vêtement est un élément révélateur de son état d’esprit.
Pasolini est un cinéaste anarchiste homosexuel tourmenté, qui n’utilise le mythe d’¼dipe que pour exposer ses propres révoltes face à l’autorité (Père) et perversités face à la loi morale (Mère).
La révolution a fait passer dans la législation républicaine sa volonté de destruction du mariage et de la famille, pour mieux déstructurer la société chrétienne qu’elle combat.
La condition féminine est celle dans laquelle vivent les femmes au sein de la société et de leur couple. Celle-ci varie suivant les lieux et les époques et a toujours été l’attention de l’Église.
Le divorce étant incompatible avec le sacrement indissoluble du mariage, il doit être évité et prévenu en amont par la mise en pratique des règles de vie et de prière communes.
Le mariage est une institution à la fois naturelle et surnaturelle. Garant de la stabilité des foyers et donc de la société, il doit être protégé par l’État.
Le mariage chrétien est à l’image de l’union divine : une sanctification constante en Dieu par l’amour, dans le but de donner de nouvelles âmes à Dieu.
