Le féminisme et l’Église

La sociologue Évelyne Sullerot écrivait en 1978 dans Le fait féminin : « La réflexion féminine et la sociologie de la femme ont été fortement idéologiques et fort peu scientifiques. » On ne peut que constater que, 40 ans plus tard, à l'heure des "Femen", GPA et autres parités imposées par la loi plutôt que par la nature, la situation n'a pas changé. La place de la femme dans la société reste encore aujourd'hui un débat totalement idéologique et décorrélé de toute réalité naturelle.
S'efforçant de ravir par la force une place qui n'est pas la sienne, le féminisme s'est attaqué notamment à l'Église, considérée par lui comme une organisation « patriarcale ». Bien qu'élaborée à partir d'articles anciens, cette brochure reste tout à fait actuelle et pertinente dans ses arguments, démontrant notamment comment :
-  l'Église a plus que tout autre contribué à défendre la dignité de la femme et a sanctifié de nombreuses femmes dignes d'éloges ;
-  le féminisme est monté en puissance dans la société moderne artificiellement ;
-  il s'est introduit dans l'Église de manière subversive ;
-  sa volonté d'accéder au sacerdoce traduit une volonté de pouvoir 
en rien évangélique et contraire à toute Tradition.