Le mythe de l’évolution dénoncé par des scientifiques

La théorie de l’évolution affirme que les changements se font du plus simple au plus complexe, de l’imperfection à la plénitude et que l’on trouverait beaucoup de défauts, de fonctions perdues, de malformations et d’organes à moitié finis, tout cela dû au processus d’évolution. Or, tous les secteurs de recherche – génétique, embryologie, anatomie, paléontologie – confirment encore et encore que toutes les créatures ont commencé leur existence déjà parfaitement et pleinement formées.
En effet, dans la nature, on ne trouve pas d'œil, d'oreille, de jambe ou d'aile "en évolution" ou à moitié finis, pas plus dans le monde des fossiles que dans celui d’aujourd’hui. Si de tels organes incomplets avaient existé, beaucoup de ces êtres auraient dû survivre ; ils étaient, par définition, mieux adaptés que leurs prédécesseurs qui étaient totalement démunis de ces organes et ils existent encore, comme le reptile "non-ailé" supposé être devenu oiseau ou le mammifère terrestre devenu cétacé.
Pour aller plus loin, tous les changements observés en fait dans la nature ne sont jamais des processus d'amélioration ou de perfectionnement génétiques mais toujours de dégénérescence ou de perte. Ceci appuie certainement le fait que au début (de la création), tout devait être parfait et non le contraire.